Vous aimeriez créer votre entreprise, comme 500/550 000 français chaque année ? Mais voilà, vous n’avez pas d’idée. Juste l’envie de vous mettre à votre compte, de ne plus avoir de patron, de prendre votre vie en mains et ne plus dépendre de personne. Etre libre en somme. Mais encore faut-il avoir une idée de business qui vous rapportera assez pour vivre et qui sera dans votre domaine de compétences, ou que vous pourrez apprendre assez facilement. Car vous n’avez peut-être pas envie de retourner à l’école pendant 3 ans… Et pas les moyens surtout !
Avant tout, il faut se poser la question Qu’est-ce qu’une idée de business ? Est-ce que toute idée peut devenir un business ? Toute idée de business est-elle une bonne idée ? A ces questions, on est tenté de vous répondre de foncer et d’arrêter de vous poser toutes ces questions ! Vous avez une idée, vous sentez que cela peut déboucher sur quelque chose, vous y croyez ? Tentez-là. Si vous n’essayez pas, vous ne saurez jamais si c’était la bonne et vous risquez de le regretter. Mais voilà, ce n’est pas parce que vous êtes passionnés de quelque chose que c’est forcément un projet qui séduira une clientèle et qui vous permettra d’avoir un chiffre d’affaire.
Des inventeurs, il y en a eu de tout temps, mais peu ont su monétiser leur idée, qui parfois pouvait être révolutionnaire. Aujourd’hui avec cette vague entrepreneuriale, on a tendance à faire croire qu’il est facile de se lancer, qu’avec une idée, de la passion, du travail et de l’amour pour son job, on réussit forcément. C’est faux. Si votre idée de départ est affreuse ou inutile, vous aurez beau vous donner corps et âme à votre projet, il ne décollera pas. Il y a des choses qui ne sont pas faites pour se transformer en business, car trop en avance ou trop en retard sur leur temps, trop compliquées ou encore personne n’est prêt à payer pour votre offre. Parfois aussi, on sait qu’il y a une forte demande, mais le public n’a pas le pouvoir d’achat pour s’offrir les produits proposés. Il n’y a que pour Apple que les gens s’endettent…
Alors trouver une bonne idée, c’est déjà en avoir des dizaines et faire un choix par élimination. Celui qui vous dit qu’il a eu une seule idée à 18 ans, qui l’a lancée à 25 et fait fortune à 30 vous ment. Tous les entrepreneurs ont des milliers d’idées qui leur passent par la tête régulièrement, et ils font ensuite le tri pour valider la meilleure, celle qu’ils sauront exécuter avec succès, mais aussi financer, vendre et faire évoluer au cours du temps.
Trouver une idée de business, ce n’est pas non plus avoir l’idée du siècle. Déjà car vous ne pouvez pas savoir si cela cartonnera ou pas, vous n’êtes pas devin, malgré votre étude de marché et votre business plan, cela reste abstrait et pas concret. Vous pouvez très bien démarrer avec un petit projet, et le faire grandir au fil du temps en réinvestissant ce que vous gagnez. Ne cherchez pas l’idée qui va vous permettre de lever des fonds ou faire parler de vous dans les médias. Mais misez sur celle qui vous donnera envie de vous lever tous les matins, car vous devrez gérez votre boite tous les jours, même les soirs et week-ends, donc autant vous tourner vers un projet que vous aimez.
Ensuite, optez pour quelque chose que vous pourrez développer en fonction du temps et de l’argent que vous pouvez y consacrer. Si vous devez passer 1 an à démarcher les investisseurs avant de pouvoir développer votre idée, c’est du temps de perdu, vous risquez de vous décourager et ce n’est pas bon. Certains le font bien sûr, mais ce n’est pas la majorité. Idem pour le temps que vous pourrez y accorder. Si vous gardez votre job salarié en parallèle, vous élevez seul(e) vos trois enfants, vous aurez moins de temps que quand vous sortiez de vos études… Tous les paramètres comptes, listez les sur un carnet, avant de vous engager. Notez aussi les valeurs auxquelles vous ne renoncerez pas pour développer votre projet, ainsi que votre ligne de conduite, votre emploi du temps, la somme que vous êtes prêt à lui attribuer ainsi que les sacrifices que vous devrez faire. Il y en a toujours, et quand on se lance, on ne les appréhende pas toujours…
N’oubliez pas non plus de définir pourquoi vous voulez devenir entrepreneur, car au-delà de votre business, il faut avoir une histoire à raconter avant de vendre des produits ou des services. Certes, vous ne créerez peut-être pas le nouvel Uber ou Blablacar, mais votre idée n’est pourtant pas moins bonne que ces success stories. Il lui suffit juste de rencontrer son marché et son public. Les créateurs d’entreprise ne sont pas tous obligés de casser les codes, de réinventer ou créer un marché ou d’être disruptif. Créer une entreprise, c’est avant tout une philosophie de vie et pas seulement inventer le business de demain, être connu et faire de l’argent.
Il ne vous reste qu’à ouvrir vos yeux, écouter votre instinct et vous lancer !
Des inventeurs, il y en a eu de tout temps, mais peu ont su monétiser leur idée, qui parfois pouvait être révolutionnaire. Aujourd’hui avec cette vague entrepreneuriale, on a tendance à faire croire qu’il est facile de se lancer, qu’avec une idée, de la passion, du travail et de l’amour pour son job, on réussit forcément. C’est faux. Si votre idée de départ est affreuse ou inutile, vous aurez beau vous donner corps et âme à votre projet, il ne décollera pas. Il y a des choses qui ne sont pas faites pour se transformer en business, car trop en avance ou trop en retard sur leur temps, trop compliquées ou encore personne n’est prêt à payer pour votre offre. Parfois aussi, on sait qu’il y a une forte demande, mais le public n’a pas le pouvoir d’achat pour s’offrir les produits proposés. Il n’y a que pour Apple que les gens s’endettent…
Alors trouver une bonne idée, c’est déjà en avoir des dizaines et faire un choix par élimination. Celui qui vous dit qu’il a eu une seule idée à 18 ans, qui l’a lancée à 25 et fait fortune à 30 vous ment. Tous les entrepreneurs ont des milliers d’idées qui leur passent par la tête régulièrement, et ils font ensuite le tri pour valider la meilleure, celle qu’ils sauront exécuter avec succès, mais aussi financer, vendre et faire évoluer au cours du temps.
Trouver une idée de business, ce n’est pas non plus avoir l’idée du siècle. Déjà car vous ne pouvez pas savoir si cela cartonnera ou pas, vous n’êtes pas devin, malgré votre étude de marché et votre business plan, cela reste abstrait et pas concret. Vous pouvez très bien démarrer avec un petit projet, et le faire grandir au fil du temps en réinvestissant ce que vous gagnez. Ne cherchez pas l’idée qui va vous permettre de lever des fonds ou faire parler de vous dans les médias. Mais misez sur celle qui vous donnera envie de vous lever tous les matins, car vous devrez gérez votre boite tous les jours, même les soirs et week-ends, donc autant vous tourner vers un projet que vous aimez.
Ensuite, optez pour quelque chose que vous pourrez développer en fonction du temps et de l’argent que vous pouvez y consacrer. Si vous devez passer 1 an à démarcher les investisseurs avant de pouvoir développer votre idée, c’est du temps de perdu, vous risquez de vous décourager et ce n’est pas bon. Certains le font bien sûr, mais ce n’est pas la majorité. Idem pour le temps que vous pourrez y accorder. Si vous gardez votre job salarié en parallèle, vous élevez seul(e) vos trois enfants, vous aurez moins de temps que quand vous sortiez de vos études… Tous les paramètres comptes, listez les sur un carnet, avant de vous engager. Notez aussi les valeurs auxquelles vous ne renoncerez pas pour développer votre projet, ainsi que votre ligne de conduite, votre emploi du temps, la somme que vous êtes prêt à lui attribuer ainsi que les sacrifices que vous devrez faire. Il y en a toujours, et quand on se lance, on ne les appréhende pas toujours…
N’oubliez pas non plus de définir pourquoi vous voulez devenir entrepreneur, car au-delà de votre business, il faut avoir une histoire à raconter avant de vendre des produits ou des services. Certes, vous ne créerez peut-être pas le nouvel Uber ou Blablacar, mais votre idée n’est pourtant pas moins bonne que ces success stories. Il lui suffit juste de rencontrer son marché et son public. Les créateurs d’entreprise ne sont pas tous obligés de casser les codes, de réinventer ou créer un marché ou d’être disruptif. Créer une entreprise, c’est avant tout une philosophie de vie et pas seulement inventer le business de demain, être connu et faire de l’argent.
Il ne vous reste qu’à ouvrir vos yeux, écouter votre instinct et vous lancer !