40% des jeunes français seraient attirés par une activité d’indépendant et d’entrepreneur. 64% des 18-24 ans et 58% des 25-34 ans Français seraient prêts à gagner moins d’argent en échange d’une activité professionnelle plus épanouissante. Ces chiffres encourageants sont issus d’une enquête* réalisée par OpinionWay pour Weebly sur le thème « Les projets professionnels personnels des actifs ».
Un rapport au travail en pleine mutation
Le rapport au travail évolue constamment. A l’ère du numérique, cette évolution semble plus rapide et intense que jamais. Alors que le nombre de travailleurs indépendants ne cesse d’augmenter en France (+85% depuis 2005). De nouvelles formes d’emplois et de contrats apparaissent. Certains cumulent même plusieurs activités : les « slasheurs ». Les Français et particulièrement les moins de 35 ans, se montrent entreprenants, tout au moins dans leurs intentions. D’autre part, les jeunes générations éprouvent un sentiment de malaise croissant vis-à-vis de l’entreprise (particulièrement la grande entreprise) et ne considèrent plus le salariat comme un mode de travail incontournable. Enfin, le moteur d’épanouissement des jeunes Français n’est plus l’argent, mais la réalisation de soi, l’équilibre vie professionnelle/vie privée, et la cohérence avec leurs convictions personnelles.
L’enquête d’OpinionWay pour Weebly démontre que si le salariat reste la forme d’emploi la plus populaire auprès des actifs (36% dans une PME, 30% dans une grande entreprise), la création d’une activité d’indépendant ou d’une entreprise séduit plus d’un quart des Français (18 et 11%). Du point de vue des jeunes générations, le salariat ne fait plus recette : 40% des 18-24 ans français souhaitent créer une activité (15%) ou devenir chef d’entreprise (25%). 27% seulement des 18-24 ans français souhaitent intégrer une grande entreprise ou une multinationale.
La jeune génération, plus entrepreneure que jamais
Parallèlement, on assiste à un phénomène naissant chez les jeunes générations qui semblent plus attachées à l’entrepreneuriat, comme l’ont démontré deux enquêtes récentes. La première réalisée par The Boson Project pour BNP Paribasdévoile que les jeunes qualifient le monde de l’entreprise de « dur », « compliqué » et « difficile ». La deuxième, réalisée par EY, montre que 62% des jeunes de cette génération souhaitent créer leur propre entreprise ; 71% pensant que leur première initiative risque de se traduire en échec, mais que cette expérience leur servira plus tard.
Autre phénomène intéressant, 56% des Français se déclarent prêts à gagner moins d’argent en échange d’une activité professionnelle plus épanouissante. La tendance est plus marquée dans les plus jeunes générations : 64% des 18-24 ans et 58% des 25-34 ans.
D’où l’envie de plus en plus forte de se lancer dans un projet professionnel personnel : 60% des Français l’ont déjà éprouvé et surtout 73% des 18-24 ans selon les résultats de l’enquête. Si ce désir reste encore majoritairement au stade de projet (pour 37% des Français), 16% seulement des Français se sont lancés.
La quête de sens est devenue primordiale
38% des Français déclarent avoir envie de se lancer dans un projet professionnel personnel pour « donner du sens à leur vie professionnelle », et 37% pour « être davantage en cohérence avec eux-mêmes ». Si le fait de gagner plus d’argent reste un moteur pour 29% des Français, ce n’est clairement plus le seul : « progresser personnellement », « avoir un meilleur équilibre vie privée-vie professionnelle », « ne plus avoir de supérieur hiérarchique » sont des arguments qui recueillent plus de suffrages.
Le financement reste le frein le plus fréquent à la réalisation d’un tel projet (45% en France), suivi du risque (44 et 49%). Seuls 5% des Français « craignent de travailler davantage » et 14% « craignent de perdre leur statut social ».
64% des Français considèrent qu’« il existe un esprit d’entreprendre » dans leur pays.
*Weebly a confié à OpinionWay la réalisation de cette étude auprès d’un échantillon représentatif de la population française (1048 personnes interrogées) constitué selon la méthode des quotas. Les interviews ont été réalisées du 4 au 8 mars 2016.
Le rapport au travail évolue constamment. A l’ère du numérique, cette évolution semble plus rapide et intense que jamais. Alors que le nombre de travailleurs indépendants ne cesse d’augmenter en France (+85% depuis 2005). De nouvelles formes d’emplois et de contrats apparaissent. Certains cumulent même plusieurs activités : les « slasheurs ». Les Français et particulièrement les moins de 35 ans, se montrent entreprenants, tout au moins dans leurs intentions. D’autre part, les jeunes générations éprouvent un sentiment de malaise croissant vis-à-vis de l’entreprise (particulièrement la grande entreprise) et ne considèrent plus le salariat comme un mode de travail incontournable. Enfin, le moteur d’épanouissement des jeunes Français n’est plus l’argent, mais la réalisation de soi, l’équilibre vie professionnelle/vie privée, et la cohérence avec leurs convictions personnelles.
L’enquête d’OpinionWay pour Weebly démontre que si le salariat reste la forme d’emploi la plus populaire auprès des actifs (36% dans une PME, 30% dans une grande entreprise), la création d’une activité d’indépendant ou d’une entreprise séduit plus d’un quart des Français (18 et 11%). Du point de vue des jeunes générations, le salariat ne fait plus recette : 40% des 18-24 ans français souhaitent créer une activité (15%) ou devenir chef d’entreprise (25%). 27% seulement des 18-24 ans français souhaitent intégrer une grande entreprise ou une multinationale.
La jeune génération, plus entrepreneure que jamais
Parallèlement, on assiste à un phénomène naissant chez les jeunes générations qui semblent plus attachées à l’entrepreneuriat, comme l’ont démontré deux enquêtes récentes. La première réalisée par The Boson Project pour BNP Paribasdévoile que les jeunes qualifient le monde de l’entreprise de « dur », « compliqué » et « difficile ». La deuxième, réalisée par EY, montre que 62% des jeunes de cette génération souhaitent créer leur propre entreprise ; 71% pensant que leur première initiative risque de se traduire en échec, mais que cette expérience leur servira plus tard.
Autre phénomène intéressant, 56% des Français se déclarent prêts à gagner moins d’argent en échange d’une activité professionnelle plus épanouissante. La tendance est plus marquée dans les plus jeunes générations : 64% des 18-24 ans et 58% des 25-34 ans.
D’où l’envie de plus en plus forte de se lancer dans un projet professionnel personnel : 60% des Français l’ont déjà éprouvé et surtout 73% des 18-24 ans selon les résultats de l’enquête. Si ce désir reste encore majoritairement au stade de projet (pour 37% des Français), 16% seulement des Français se sont lancés.
La quête de sens est devenue primordiale
38% des Français déclarent avoir envie de se lancer dans un projet professionnel personnel pour « donner du sens à leur vie professionnelle », et 37% pour « être davantage en cohérence avec eux-mêmes ». Si le fait de gagner plus d’argent reste un moteur pour 29% des Français, ce n’est clairement plus le seul : « progresser personnellement », « avoir un meilleur équilibre vie privée-vie professionnelle », « ne plus avoir de supérieur hiérarchique » sont des arguments qui recueillent plus de suffrages.
Le financement reste le frein le plus fréquent à la réalisation d’un tel projet (45% en France), suivi du risque (44 et 49%). Seuls 5% des Français « craignent de travailler davantage » et 14% « craignent de perdre leur statut social ».
64% des Français considèrent qu’« il existe un esprit d’entreprendre » dans leur pays.
*Weebly a confié à OpinionWay la réalisation de cette étude auprès d’un échantillon représentatif de la population française (1048 personnes interrogées) constitué selon la méthode des quotas. Les interviews ont été réalisées du 4 au 8 mars 2016.